Il est secondé par le directeur adjoint Léon Lambert, à Québec et les directeurs adjoints suppléants Louis-Jean Jargailles à Montréal et Me Bernard Sarrazin, à Québec. Il a acquis une formation en administration des affaires (MBA) de l’Université de Laval. Entre 1930 et 1936, on assiste à la formation d’escouades de la moralité, à l’ouverture d’un premier poste en Abitibi et à la création d’un premier service d’enquêtes criminelles à Québec. Le gouvernement de l’Union nationale pousse plus loin la réforme de l’organisation policière amorcée sous les libéraux. Les sergents Édouard Harpe et Michael Burke le secondent. Une importante structure de logistique et d’accueil des nouveaux membres se met en place, et le bilan en indique la réussite. Il devient enquêteur en 1969 et occupe les mêmes fonctions entre 1971 et 1973 au poste de Sainte-Julie. Âgé de 59 ans lors de sa nomination, monsieur Robert reste en poste pendant trois ans. Il meurt en 1878. Il demeure directeur général de la Sûreté du Québec jusqu’en juin 2003 et poursuit sa carrière au gouvernement du Québec où il est nommé sous-ministre des Transports le 6 octobre 2003. L’année suivante, il dirige, à titre de sergent responsable, une équipe d’enquêteurs de l’Unité des crimes contre la personne. Les échelles indiciaires des cadres d'emplois concernés ont été mises à disposition ci-dessous. La même année, l’arrestation de plus d'une centaine d'individus dans le cadre de l’opération Printemps 2001 démontre l’expertise de l’organisation dans le domaine des enquêtes criminelles, notamment dans la lutte aux motards criminalisés. Il est alors responsable des orientations, objectifs stratégiques et politiques générales du ministère, tout en assurant la promotion et la saine gestion des organisations policières au Québec. La transformation organisationnelle est alors mise en branle et des restructurations d’envergure sont rondement menées dès 2009. Il est diplômé en gestion supérieure du Centre international de recherches et d’études en management affilié à l’École des hautes études commerciales. Relations avec les autorités judiciaires, de police et de gendarmerie Signalement fait au procureur et information reçues 1 an Eliminer Etat statistique mensuel sur la criminalité et la délinquance 1 an Conserver Fiche de mise à disposition adressée à la gendarmerie (rapports sur des individus suspects) 1 an Eliminer Vidéo-protection La division de Québec a aussi son chef. Ce dernier est remplacé par Henri Charland en 1942. En termes d’études et de formation, M. Prud’homme a obtenu son diplôme d’études collégiales en techniques policières au Collège Ahuntsic et a complété sa formation policière de base à l’École nationale de police du Québec. C’est aussi à cette époque que les couleurs organisationnelles sont adoptées : un nouvel uniforme vert de même que des véhicules verts à portières jaunes marquent de façon concrète la rupture avec « l’ancienne police ». Par ailleurs, un fort mouvement de syndicalisation se dessine partout au sein de l’administration publique. À ce titre, il supervise et coordonne l’ensemble des dossiers d’homicides pour la Sûreté du Québec, en plus d’autoriser et de coordonner les opérations majeures. Nommé à l’âge de 51 ans, monsieur Beauregard demeure en fonction durant cinq ans et demi. ... Mise à disposition des rapports avant l'Assemblée. Il entreprend sa carrière de policier à la Sûreté du Québec en 1962. Sans délai, nous avisons notre poste de Police des faits précités à l’aide de nos moyens radio et entamons des recherches dans le secteur. Il est secondé par le directeur général adjoint Léopold Trottier à Montréal et par les directeurs adjoints Jean-Paul Dessureau, à Montréal et Lucien Descent, à Québec. Il est assisté de Léon Lambert à Québec et de Louis-Jean Jargailles à Montréal comme chef des détectives. Le 20 novembre 1996, âgé de 60 ans, il prend la direction de la Sûreté du Québec, de façon intérimaire puis est confirmé dans son poste de directeur général le l3 mai 1998, fonction qu’il occupe jusqu’en novembre. Il décède à l’âge de 67 ans, le 27 juillet 1970. Le Service des relations communautaires est créé durant cette période. Dès les premières années de la Confédération, le gouvernement conservateur l’officialise par l’Acte de police de Québec sanctionné le 1er février 1870. Policier de carrière à la Sûreté, il est aussi propriétaire d’entreprises. La défaite de Duplessis aux élections de 1939 et le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) portent un dur coup à la réorganisation. En 2003, il est nommé directeur général adjoint de la Grande fonction de l’administration. Un des projets du nouveau premier ministre est d’ailleurs de transformer la Sûreté de l’époque en la réformant de fond en comble. C’est l’Abitibi-Témiscamingue qui l’accueille pendant une quinzaine d’années. En 1998, un dixième district, celui de la Montérégie, est créé. Il est assisté par les directeurs adjoints suppléants Hilaire Beauregard, à Montréal et Henri Charland, à Québec. 1 - Modèle de tableaux de gestion d’un RIA et de tableaux d’inventaire et d’amortissement 2 - Exemple de convention financière cadre 3 - Exemple de convention relative à la mise à disposition des locaux d’un RIA 4 - Exemple de convention d’association à la gestion du RIA annexe à la convention-cadre Âgé de 51 ans lors de sa nomination, monsieur Lorrain quitte son poste près de six ans plus tard. L’état-major et le quartier général sont établis à Montréal et les pouvoirs du directeur sont accrus. Suite à la parution des décrets d'application pour le cadre d'emplois des ingénieurs, la fiche mutualisée portant sur le déroulement de carrière, un modèle d'arrêté, la présentation des modalités de reclassement, les nouvelles grilles indiciaires et échelonnements 2017-2020 ainsi que le mémento des carrières sont mis à votre disposition. Après une absence de 5 ans, il revient à la Sûreté en 1945 comme directeur adjoint suppléant à Montréal. La mise à disposition des personnels de droit privé p. 18 Annexes : Modèles d’actes p. 21 E Modèle de courrier pour une demande de mise à disposition p. 22 E Modèle d’arrêté portant sur la mise en disposition p. 23 E Modèle de convention de mise en disposition p. 25 SOMMAIRE Directeur général de la Sûreté du Québec, Montréal. S’amorcent dès lors des refontes majeures sous la gouvernance successive de trois directeurs généraux dont deux hauts fonctionnaires civils, messieurs Guy Coulombe et Florent Gagné. Elle sera remplacée par l’Institut de police du Québec, à Nicolet, en 1969. Mario Laprise a d’abord été policier à la Sûreté du Québec pendant près de 26 ans, soit de 1979 à 2005. Il est en même temps juge des Sessions de la paix et, précédemment, avocat (1868), politicien (1872) et ministre (1870). On n’a qu’à penser à la guerre des motards et aux opérations de l’escouade Carcajou dès 1995, au déluge du Saguenay en 1996 ou même à la crise du verglas en 1998. Il cesse d’occuper ses fonctions le 18 octobre 1996 pendant que se tient la Commission d’enquête chargée de faire enquête sur la Sûreté du Québec, présidée par le Juge Lawrence Poitras. En octobre 2014, M. Martin Prud’homme est nommé directeur général. Il décède à l’âge de 63 ans le 26 mai 1970. Au cours des années 1930-1950, c’est bien connu, il est plus simple de faire carrière dans ces secteurs d’emploi si on connaît le maire ou le député. Nommé juge en 1961, il prend sa retraite deux décennies plus tard. À Québec, en avril 2001, le Sommet des Amériques donne lieu à d’importantes manifestations et à une des plus importantes opérations de maintien et de rétablissement de l’ordre de la Sûreté. # Beaut é Beauté : On a testé la gamme anti imperfections de chez HelloBody. M. Barbeau est titulaire d’une maîtrise de l’École nationale d’administration publique et fut le premier directeur général à détenir une formation universitaire de ce niveau. Voici les grandes étapes qui ont marqué son évolution. L’immigration est importante, les villes, les infrastructures et le réseau routier prennent de l’expansion. Chef de la Police provinciale de 1902 à 1922 et chef de la Sûreté provinciale à Québec de 1922 à 1932 – direction conjointe. Apparaissent ainsi la Police du revenu, la Police de la circulation et la Police des liqueurs, toutes indépendantes de la Police provinciale. Elle ouvrira la voie au recrutement d’autres femmes dans tous les corps policiers québécois. Il demeure en poste durant cinq ans. Seuls quelques constables demeurent en service sous l’égide de la police municipale de Québec. Entré à la Sûreté en 1936 comme détective, il gravit les échelons rapidement, jusqu’en 1940. Il meurt le 30 septembre 1952 à l’âge de 81 ans. Nommé à l’âge de 45 ans, monsieur McCarthy demeure chef durant près de 30 ans. Les responsabilités dans les secteurs des enquêtes et de l’administration sont réévaluées et une réforme des façons de faire de la Grande fonction de l’administration s’enclenche. Nommé à l’âge de 49 ans, monsieur St-Pierre demeure en poste durant près de cinq ans. Inscrivez-vous à notre newsletter et recevez toutes les dernières infos directement dans votre boîte email. La Sûreté participe aussi activement à la Commission d’enquête sur le crime organisé (CECO) à partir de 1972. Nommé à 48 ans, monsieur Piuze assume cette fonction durant un peu plus de deux ans. Il est ensuite instructeur à l’Institut de police du Québec, puis responsable du Service de la formation et du perfectionnement, qu’il contribue à mettre sur pied. Modèle de procès verbal de mise à disposition de biens meubles affectés à l'exercice de la compétence 21 Juin 2016 - Réf: CW23680 Modèles de délibérations du conseil municipal sur le périmètre de fusion et sur l'accord local Même si la direction est officialisée à Montréal, dans les faits, elle n’est pas pour autant unifiée. En 1995, il devient officier spécialiste en sécurité publique. Il décède le 4 mars 1932, à l’âge de 75 ans. Le Bureau des détectives provinciaux de Montréal et la Police provinciale de Québec sont fusionnés. (article 73 du Code de procédure pénale). Les revalorisations indiciaires concernent : Les échelles indiciaires des cadres d'emplois concernés ont été mises à disposition ci-dessous. De grands événements tels que la visite du pape Jean-Paul II en 1984 ou encore l’incendie des BPC à Saint-Basile-le-Grand en 1988 sollicitent l’expertise diversifiée de la Sûreté. Le 7 mars 1916, il meurt à l’âge de 69 ans. À la fin de cette restructuration, la Sûreté compte tout près de 5000 employés. Il décède à Québec en 1913. Âgé de 39 ans lors de sa nomination à titre temporaire, monsieur Aubé, un avocat de formation, demeure en poste durant un an. Les adversaires du régime dénoncent les interventions de la Sûreté provinciale au cours de conflits ouvriers – on peut penser à Valleyfield en 1946, Asbestos en 1949, Louiseville en 1952 et Murdochville en 1957 – qui ont marqué l’histoire populaire du Québec. L'évolution de l'uniforme à la Sûreté du Québec, La Sûreté du Québec et la Révolution tranquille 1960-1970, Les 30 ans du Groupe tactique d'intervention de la Sûreté du Québec (1981-2011), Histoire de la Sûreté du Québec : de 1870 à 2013, Les enquêtes criminelles - Première partie (1870-1922). Promu lieutenant en 1992, il est adjoint au responsable du Bureau de la surveillance du territoire, dans le district de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nouveau-Québec. On réduit le nombre de postes et certains policiers sont même mobilisés pour l’effort de guerre – traque des prisonniers de guerre et des espions, surveillance des usines de guerre, etc. Nommé caporal en 1985, il devient sergent en 1986 et dirige le poste de La Sarre. Il est directeur général de la Sûreté du Québec jusqu’en juillet 2008. L’embauche cesse de 1981 à 1987. Il obtient ses grades de capitaine et d’inspecteur alors qu’il est commandant de l’Unité d’urgence de la région est, de 1996 à 1998. Âgé de 46 ans lors de sa nomination en 1988, monsieur Lavigne occupe la fonction de directeur général pendant sept ans. Il a alors comme mandat de conseiller le ministre sur l’organisation policière, la sécurité publique et privée, la prévention de la criminalité, la lutte contre le crime organisé et le terrorisme ainsi que la sécurité de l’État. Au cours des Jeux olympiques de 1976, les policiers de la Sûreté sont également présents en grand nombre pour assurer la sécurité. En 1986, il est promu directeur général adjoint à la Surveillance du territoire, puis en 1987, adjoint exécutif du directeur général. Le découpage régional est revu et huit districts sont créés en trois ans, soit ceux du Bas-Saint-Laurent et de l’Estrie en 1970 ainsi que ceux de Montréal, de la Mauricie, de l’Outaouais, de l’Abitibi-Témiscamingue–Nouveau-Québec, du Saguenay– Lac-Saint-Jean et de Québec en 1973. Il est directeur général de la Sûreté du Québec jusqu’en octobre 2012. Des postes et des sous-postes sont ouverts dans tous les comtés de la province. Metz [m ɛ s] [1] Écouter est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine. Orné de feuilles de chêne depuis 1980, l’emblème de la Sûreté du Québec, arbore à partir d’octobre 1983, la devise choisie par l’État-major : C’est d’abord à un choix politique que la Sûreté doit sa création. Il entre à la Sûreté du Québec en octobre 1968 comme directeur général adjoint, pour être nommé directeur général, le 1er janvier 1969. Par la suite, il devient directeur général de la Ville de Montréal (1999) et ensuite présidera une Commission gouvernementale sur les forêts publiques du Québec (2003). Il partage sa fonction avec son collègue Augustin McCarthy à Québec. Pendant quatre ans, soit de 1951 à 1954, il assume l’intérim comme directeur de la division de Montréal. Il est secondé par Léon Lambert à Québec. Militaire de carrière, il occupe aussi des postes importants dans les pénitenciers et les prisons. Avec l’intégration de la Police de la route et de la Police des liqueurs, l’effectif de la Sûreté passe à 565 policiers. Au cours de l’année 2004, il est nommé chef de ce service avec le grade d’inspecteur. Il est alors âgé de 34 ans. Notre promo est vraiment sympa. Il quitte en 1936. À son départ définitif le 13 mars 1998, il est nommé membre et vice-président de la Commission québécoise des libérations conditionnelles jusqu’en septembre 1998. [F2] Modèle de rapport ... Les caméras mobiles des agents de police municipale : mise en place dans la commune ... Établissements de nuit et obligation de mettre à la disposition de la clientèle des éthylotests [N1] Éthylotests mis à disposition dans les établissements de nuit une partie des cadres d’emplois de catégorie A  . Voici trois recettes de tartines à faire chez toi quand tu n'as pas le temps de cuisiner ! Par exemple, en partenariat avec la Police des liqueurs, la Gendarmerie royale du Canada et les corps policiers américains, la lutte à la contrebande d’alcool vers les États- Unis (le rum-smuggling) mobilise l’organisation aux frontières : la prohibition de l’alcool sévit en effet chez nos voisins du Sud de 1920 à 1933. Policier à la Sûreté du Québec depuis 1980, monsieur Deschesnes occupe la fonction de directeur général depuis le 1er juillet 2008. Il prend sa retraite de la Sûreté du Québec en octobre 1974, après 32 ans de service, et devient sous-ministre associé au ministère de la Justice. Le changement de gouvernement amène une vague imposante de congédiements chez les policiers provinciaux. En 1993, il joint les rangs de l’Escouade du crime organisé comme enquêteur. Forte de seulement 65 hommes à ses débuts, la Police provinciale est un corps de police que le gouvernement met à la disposition des municipalités moyennant le partage des coûts et « qui pourra intervenir lors d’émeutes électorales, religieuses et conflits ouvriers tout en veillant au respect des lois fédérales, provinciales et règlements municipaux ». Il est responsable de la Direction générale de la sécurité publique jusqu’en décembre 1979, moment où il prend sa retraite. Il a de plus été un acteur-clé de la coordination de l’opération policière connue sous l’appellation de « Printemps 2001 ». Le crime organisé, la défense de la langue française, le nationalisme québécois et les manifestations qui y sont associées de même que les grèves vont mobiliser grandement le personnel policier. pour les cadres d’emplois relevant de grilles C1, C2 et C3 : C1 : revalorisation de tous les échelons. Directeur de la Sûreté provinciale du Québec, Montréal. Nommé à l’âge de 39 ans, monsieur Gaboury, un avocat de formation, reste en poste durant quatre ans et demi. Bien que les enquêtes en région se déroulent sous la supervision de la Police provinciale, cette dernière s’assure d’offrir une expertise en embauchant des détectives privés. Modèles de lettres pour rapport circonstancie police avec conseils intégrés à télécharger sur Modèles de lettres. Le district de Montréal devient le district de Montréal-Laval-Laurentides-Lanaudière. Exemple de rapport de stage police municipale.Objectifs de mon stage page 3 les raison de mon stage page 3 la fonction de la police municipale page 3 aspect historique page 4 devoirs généraux des agents de police municipale page 4 les conditions de travail page 4 le personnel page 5 planning d activités de la semaine … La Police provinciale apparaît quelques décennies après la création des premiers corps policiers municipaux tels que ceux de Montréal et de Québec (1843) ou de Trois-Rivières (1857). Nommé directeur général en octobre 1974 à l’âge de 39 ans, monsieur Beaudoin reste en poste pendant 14 ans, le plus long directorat de l’histoire de la Sûreté contemporaine. Promu lieutenant, il assume la direction de la protection des personnalités en 1988. À la tête du plus grand corps policier de la province, la tâche n’est pas mince, mais c’est avec intégrité, respect et professionnalisme que ces hommes mènent leurs troupes. À compter de 1922, il partage ses fonctions de chef avec son homologue de Montréal, Dieudonné Daniel Lorrain. Finalement, le gouvernement prend la décision de diviser la Sûreté provinciale en quatre branches : la Police judiciaire, la Gendarmerie, la Police de la route et la Police des liqueurs. La criminalité grimpe à son tour : la police doit donc s’adapter. Il s’est alors démarqué par sa vision stratégique du concept de sécurité de l’entreprise. Il prend sa retraite en octobre 1988 et occupe le poste de sous-ministre au ministère de la Sécurité publique jusqu’en novembre 1991. Des détectives et des constables, prenant le nom de Police judiciaire, sont installés dans les divisions de Québec et de Montréal. En 2000, il est nommé coordonnateur de l’opération de sécurité du Sommet des Amériques pour l’ensemble de la Sûreté. Par la suite, il devient conseiller à la Direction des enquêtes sur les crimes majeurs. Il est nommé juge de la Cour du bien-être social en 1957. Saultain est un village périurbain du Valenciennois situé à 5 km au sud-ouest de Valenciennes, à 6 km de la frontière franco-belge et à une cinquantaine de kilomètres de su sud-est de Lille.. Dans l’exercice de ses fonctions, il représente la Sûreté du Québec auprès de diverses instances, dont les élus municipaux, les responsables des ministères et organismes ainsi que les différents partenaires provinciaux et nationaux, en plus de maintenir des relations professionnelles avec les divers syndicats. La Sûreté entre en force dans le XXIe siècle avec deux opérations d’envergure. L’introduction progressive, par les gouvernements libéral et péquiste, de la facturation des services de la Sûreté aux municipalités amène la création de la Division des relations avec les municipalités. Dans les années 1920, tout juste avant la mise sur pied d’une commission royale d’enquête sur l’affaire Blanche Garneau (un meurtre qui ne fut jamais résolu), le gouvernement réorganise sa police. Il est alors adjoint au shérif du district judiciaire de Québec. En 1996, il est nommé directeur général adjoint de la Grande fonction du développement et des affaires institutionnelles. Monsieur Amyot, qui est aussi avocat, assume la fonction durant un an. Recherchez parmi les 37 166 catalogues et brochures techniques disponibles sur NauticExpo. Nommé à l’âge de 34 ans, monsieur Lalonde, un avocat de formation, demeure en fonction durant plus de sept ans. Au cours de ces années, il a exercé différentes fonctions de patrouilleur, d’enquêteur et d’officier. Au cours de sa carrière, il a occupé diverses fonctions dont celles d’agent patrouilleur au poste de l’Étape, adjoint opérationnel, chef d’équipe et enquêteur au poste de Notre-Dame-du-Lac. La Police provinciale est abolie en 1878 par les libéraux, pour faire suite à une promesse électorale. Il décède le 3 novembre 1993 à l’âge de 93 ans. Par la suite il retourne à la consultation et l’enseignement. L’année 1938 voit ainsi se réaliser la première grande transformation de l’organisation : la Police de la circulation et la Police des liqueurs sont intégrées à la Police provinciale, désormais nommée « Sûreté provinciale du Québec ». C’est en juillet 2009, à l’âge de 40 ans, que M. Prud’homme devient le premier policier actif à accéder au poste de sous-ministre associé aux Affaires policières, au sein du ministère de la Sécurité publique. 11/03/2020 Mise à disposition du formulaire du compte de campagne et de ses annexes aux formats PDF à saisir et Excel. Chaque agent sera territorialement compétent sur l'ensemble du territoire des communes signataires de la convention de mise à disposition. Les braquages de banques sont nombreux dans le Québec de l’époque; par exemple, l’affaire Richard Blass, dans laquelle la Sûreté jouera un rôle important, défraie les manchettes. Il est ensuite nommé adjoint au responsable du poste de l’Assomption en 1972. Les surintendants Ludger-Napoléon Voyer et Henry Heigham sont ses adjoints. Pourtant, des progrès sont observés : le poste de chef de la Sûreté provinciale est créé. Auparavant, il est sous-ministre des Affaires municipales (Québec) à partir de 1989 où il était sous-ministre adjoint depuis 1983. En décembre 2019, Mme Johanne Beausoleil est nommée directrice générale par intérim et devient la première femme à occuper ce poste à la Sûreté. Commissaire de la Police provinciale de Québec, Québec. Ils abordent différentes thématiques liées au passé de l’organisation : des périodes importantes de l’histoire de la Sûreté, l’évolution et la professionnalisation d’unités, l’historique des uniformes, des véhicules, etc. Âgé de 55 ans au moment de sa nomination, monsieur Doucet demeure en poste durant sept ans. C’est le retour des policiers mis à pied en 1936! Nommé directeur des relations communautaires en 1987, il assume cette fonction jusqu’à sa retraite en avril 1994. Il dirige les postes de Fort-Georges et de Campbell’s Bay. Par ailleurs, l’opération SharQc, menée en 2009, confirme à nouveau l’expertise acquise depuis plusieurs décennies par la Sûreté du Québec en matière de lutte contre les groupes de motards criminalisés. En 1883, le gouvernement reprend le contrôle de sa police avec un effectif très réduit et un mandat plus modeste : « la garde des édifices gouvernementaux, la signification d’avis gouvernementaux, de pièces de procédure et les enquêtes criminelles en province ». Sociologue de formation et gestionnaire, Monsieur Coulombe, fonctionnaire de carrière et dirigeant d’entreprises québécoises publiques et privées dirige la Sûreté du Québec pendant deux ans. Il est ensuite nommé commandant adjoint du district de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nouveau-Québec, avant d’assumer le commandement de l’Unité d’urgence du district de Montréal. ... Modèle de rapport de stage type avec : page de garde, remerciements, introduction, plan détaillé, conclusion, glossaire, bibliographie et annexes. Policier de carrière, monsieur Proulx est entré à la Sûreté en 1973. L’effectif de la Sûreté est de 1234 personnes en 1960. Arrêté de mise à disposition dans le cadre d’une mise en commun d’agents de police municipale Le CDG 76 met à votre disposition ce modèle d’acte que vous pouvez télécharger et adapter à la charte graphique de votre collectivité. L’arrivée au pouvoir de Maurice Duplessis en 1936 annonce une période de changements majeurs dans l’histoire de l’organisation. Il quitte en 1936. En 1992, il est nommé capitaine et il est responsable de la planification des opérations en sécurité routière, puis chef du Service des relations avec les municipalités à Montréal. La mort de Duplessis en 1959 et l’arrivée au pouvoir des libéraux de Jean Lesage en 1960 jettent les bases de ce que le Québec a nommé la Révolution tranquille. Les diverses polices gouvernementales commencent à se regrouper graduellement sous la même autorité. On parle alors de la « Police à Duplessis ». Les districts de Montréal et de Québec sont administrés séparément. Certains ministères québécois décident alors de se doter de leur propre police. Même chez les policiers, on revendique des améliorations sur plusieurs plans, dont le processus de nomination, les salaires, les horaires et les transferts. C’est le retour d’un modèle administratif militaire. Il est greffier de la paix à Québec et membre du Bureau de police de la Ville de Québec avant de cumuler les fonctions de commissaire et de juge des Sessions de la paix. Si tu cherches à te débarrasser de tes imperfections, la marque HelloBody a entendu tes prières ! C’est l’ère des « chapeaux » à la Sûreté : une quarantaine d’ex-membres de la GRC sont nommés à des postes clés entre 1960 et 1965. Un ancien officier supérieur de la GRC, Josaphat Brunet, est nommé à la direction de la Sûreté et entreprend une nouvelle transformation de l’organisation. Afin de faciliter le travail des candidats, mandataires financiers et experts-comptables, la commission met à disposition le formulaire du compte de campagne et ses annexes aux formats PDF à saisir et Excel. Nommé à l’âge de 58 ans, en août 1960, monsieur Brunet assume le poste durant un peu plus de cinq ans. La division de Québec a la réputation d’être mieux administrée et moins impliquée dans les manœuvres électorales. En 1940, un poste de police de la route est ouvert aux abords de chacun des huit ponts qui ceinturent l’île de Montréal. A des prérogatives anciennes (ex : possibilité de créer une police municipale), s’en ajoutent de nouvelles, susceptibles d’élargir sa marge de manœuvre et de compléter le panel des outils à sa disposition (ex : le rappel à l’ordre). 188 talking about this. Signe d’un changement de mentalité, une première policière, Nicole Juteau, est embauchée en 1975. Voyons d’abord le contexte : c’est le temps de la Grande noirceur (1936-1959) pour le Québec, soit une ère de conservatisme où la domination de l’Église catholique est importante et la politisation de la fonction publique dans son ensemble (et celle des policiers!) En outre, la Police des liqueurs est détachée de la Sûreté provinciale dès 1940. Il est promu directeur général le 25 juin 2003. Les libéraux d’Adélard Godbout procèdent à leur tour à des renvois massifs et maintiennent le phénomène de la politisation de l’embauche. Certaines tâches et mandats sont revus. Par ailleurs, les problèmes plus aigus de criminalité à Montréal donnent lieu à la création du Bureau des détectives provinciaux entre 1905 et 1908. C’est aussi un temps où les bases de la Sûreté actuelle vont véritablement prendre forme et où la carte policière sera clairement définie. Au 10 septembre 2020, la Sûreté compte près de 5711 policiers et 2259 civils. Le 26 juillet 1961, il décède à l’âge de 64 ans. Promu inspecteur en 1993, il dirige le Bureau de la Surveillance du territoire du district de Montréal. Par exemple, la lutte contre la corruption et la collusion prend rapidement de l’importance au Québec : citons notamment la création du Service des enquêtes sur la corruption (escouade Marteau) et de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) en 2011 qui ont mené d’importantes opérations depuis. De nouvelles normes d’embauche sont instaurées et on exige dix années de scolarité pour devenir policier, ce qui représente un standard très élevé pour l’époque.